L’exposition « For intérieur » de Jan Fabre à la Maison Jean Vilar (vue lundi 18 juillet) ne parvient pas à provoquer un élan de générosité, un don de soi. Trop mégalo, son exposition ne parle finalement que de lui. Si le corps de l’homme est son sujet de création, il en omet toute la dimension psychologique, émotionnelle. Au final, une exposition vide de sens, où même la jeune fille qui nous sert de guide n’y croit plus, rêvant sûrement à d’autres performances….